Les dossiers compressés (ZIP) sont nativement supportés par Windows XP et Windows 2003.
Cependant, dans certains cas, ce support peut ne pas être présent : Installation d'un outil de compression de type Winzip ou autres, migration à partir d'une ancienne version de Windows, etc.
Pour réactiver le support des dossiers compressés, il suffit de taper la commande suivante dans "Démarrer" -> "Executer" :
regsvr32 zipfldr.dll
Pour désactiver à nouveau ce support, il suffit de taper la commande inverse, à savoir :
regsvr32 /u zipfldr.dll
Une mine d'information sur les VMX et les VMDK de VMware ici :
http://www.sanbarrow.com
A lire absolument si vous voulez en savoir plus
Celle-ci, c'est mon pote Didou qui me l'a prêtée.
On lui a donné et il me l'a ramenée pour une remise en route. Elle n'avait pas tourné depuis plus de 2 ans. Donc : vidange, remplacement des filtres, bougies, batterie, vidange du réservoir. Une pulverisation en règle au WD40 (un bidon entier) puis après une semaine, un coup de jet haute pression. Un nouveau plein avec un bidon de décrassant et après quelques coups de démarreur, elle s'ébroue sans problème.
85000 Km et le moteur tourne comme une horloge. Il s'agit d'un gros V twin de 800 cc. La transmission secondaire est confiée à un cardan.
C'est parti pour un petit galop d'essai. La moto est facile, si ce n'est un rayon de braquage démesuré du à l'angle de chasse plutôt important. Le gros twin est moelleux et prend bien ses tours avec une poussée franche vers les 6000 trs/min. La selle est plutôt basse et un peu étroite ce qui fait que j'ai les deux pieds bien à plat au sol à l'arrêt. La position de conduite est plutôt reposante.La boite 5 est douce et précise (une 6ème vitesse aurait été la bienvenue) et le cardan se fait totalement oublier. Le frein moteur est très présent ce qui pardonne un freinage quelque peu faiblard : il faut tirer fort sur le levier pour mettre en oeuvre le simple disque à l'avant.
Bref, une moto plutôt sympa, fiable, mais à l'esthétique particulière...
Merci Didou !
Bon, celle-là, c'est mon pote Bruno qui me l'a prétée. Je me charge de l'emmener chez Yohann pour un petit entretien (pneus, plaquettes, kit chaine) :
On commence par le look : Suzuki a pris un énorme pot d'échappement et a construit une moto autour ! Z'auraient plus faire plus discret à mon gout...
Niveau moteur, là, ils ont laissé causer la poudre : non pas qu'il soit ultra puissant (98 ch. non bridés) mais question couple, je vous laisse jeter un coup d'oeil à la courbe :
C'est rempli partout : elle envoie vraiment très fort des 3000 tours et c'est comme ça jusqu'à 6500 tours où la puissance prend le relais.
Du côté des sensations, sur les 3 premiers rappors, ça arrache les bras des 3000. Sur les 3 suivants, les reprises sont vraiment très vigoureuses. En 1ère, suivant le revêtement, ça patine ou ça lève mais ça veut pas rester tranquille !
Gros moteur donc et grosses sensations ! Ca ferait presque penser à un certain twin jaune que j'ai eu...
A part ça, la machine est très très saine, vraiment très maniable, quoique, pour un petit gabarit comme moi, un centre de gravité un chouia plus bas et un guidon plus petit et plus plat auraient été les bienvenus. Elle est assez confortable et le petit saute-vent fait bien son travail sauf à haute vitesse où on n'est plus vraiment protégé.
Au niveau freinage, il est mordant mais progressif et l'ABS offre une bonne sensation de sécurité. En revanche, le frein arrière est à peine un ralentisseur...
Conclusion : un gros roadster velu qui sied bien aux Réunionais poilus ;-)
Merci Bruno !
Celle-ci, c'est Jean-Yves (le second) qui me l'a prêtée en échange de la 400 four :
Quelques chiffres d'abord : V4 de 1300 cc ; couple de 11,7 m/kg à 5750 trs/min. ; 108 ch. à 7500 trs/min ; boite 5 vitesses et ... 312 Kg en ordre de marche !
L'échange se fait un midi et je repars avec le soir. Avec mes 56 Kg tout mouillés j'ai une petite apréhension quand j'enfourche le paquebot. Démarreur (starter automatique) et le gros V4 s'anime dans un bruit assez atypique : un sifflement de turbine et un proutproutement style tondeuse à gazon !
Oumf ! Je la relève de sa béquille légèrement anxieux quand même. On sent bien ses 312 Kg. Les commandes sont douces "à la honda" et tombent parfaitement sous la main. J'enclenche la première et je décolle doucement du parking.
Là, première grosse surprise : sitôt en mouvement, la machine devient toute légère et maniable. Mon inquiétude s'envole illico. La bulle est en position haute et j'ai peine à voir au dessus sinon en me tenant raide comme un poireau !
En ville, la machine n'a besoin que d'une vitesse : la 3ème. Elle suffit pour rouler au pas et se faufiler (attention aux rétros, la bête est large) entre les automobilistes. Une fois rejoint la route, on reste en 5ème tout le temps même quand on doit descendre à 40-50 Km/h : un petit coup de gaz et le gros V4 se reveille tout en souplesse et en couple pour emmener la moto.
Bon, il faut le dire tout de suite : ce n'est ni une sportive, ni un roadster. On entre ici dans un autre monde, celui du voyage en cabine 1ère classe : la moto est hyper confortable, toutes les aspérités de la route sont gommées et même le mauvais revêtement ne la dérange pas. Le V4 est souple, onctueux et bien rempli entre 2500 et 7000 trs/min. Dans les courbes, la moto procure une excellente sensation de sécurité et ne bouge pas d'un iota. Dans les grandes lignes droites, il faut être très vigilant question vitesse, car à 130 Km/h, à l'abri de la bulle et bercé par le prouproutement du moteur, on a vraiment l'impression de se ballader à ... 50 Km/h !
Cette moto est réputée louvoyer au délà de 120 Km/h. Ce serait du à l'angle de chasse plus fermé que sur la 1100 (pour amélioré la maniabilité)... En ce qui me concerne, je n'ai constaté qu'un léger dandinement même pas inquiétant et auquel on ne prête plus attention après quelques kilomètres. A noter, qu'avec un passager le dandinement ne se produit plus.
Le seul petit défaut constaté (en cas de grosse chaleur) : l'évacuation de la chaleur au niveau des tibias qui s'échauffent rapidement. Le soir, il faisait 28° et c'était intenable. Le lendemain matin, il faisait 16° et la chaleur remontant le long des tibias n'était plus désagrable du tout.
Merci Jean-Yves 2 !