Quand il n'y a aucun feu de croisement, un policier nous dit quand
nous arrêter. Il fait ceci en dressant la main; ceci nous indique
que nous devons stopper. De la même manière, la main ci-dessus nous
indique l'arrêt et nous invite à penser à ce que nous allons faire,
communiquer ou penser. Nous pouvons blesser quelqu'un par n'importe
laquelle de ces actions. Nous devons nous arrêter et penser avant de
faire quoique ce soit. De cette façon, nous pouvons mieux observer les
principes d'Ahimsa. Nous obtenons de bons ou de mauvais karmas1 par les
choses que nous faisons, les mots que nous disons, et par la manière dont
nous pensons. La roue dans la main nous indique que si nous n'observons
pas toutes ces choses, alors notre âme2 ne sera jamais libérée de
ce cycle de la vie et de la mort.
Ainsi, Ahimsa nous incite à nous arrêter et à réfléchir avant
d'agir afin d'être sûr que ce que nous faisons, disons ou pensons,
ne nous apporte pas d'ennui.
1. Voir la lettre K
2. Votre véritable moi, la partie en vous qui ne meurt jamais.
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La recette du sou beurek – littéralement "beurek à l'eau" – tel que le préparait ma grand-mère Arménienne. Prévoyez près de deux heures de préparation.
Temps de préparation :
Temps de cuisson :
Recette pour un sou beurek d'environ 40 cm. (6 personnes)
Ingrédients
300 g de farine
Environ 100 g de beurre
200 g de feta
150 g de gruyère
3 oeufs
1/4 de verre d'eau
1 bouquet de persil
Sel, poivre
Préparation de la pâte
Battez avec un batteur électrique les oeufs et le quart de verre d'eau avec du sel. Incorporez très doucement la farine tamisée. Dès que la pâte commence à épaissir, pétrissez- la avec les mains et continuez à verser le reste de la farine. Vous devez obtenir une pâte souple.
Répartissez votre pâte en 8 boules de taille égale. Etalez chacune de boules de façon à obtenir un disque d'environ 25-27 cm (la feuille s'agrandira jusqu'à 40 cm lors de la cuisson). L'épaisseur des feuilles ne doit pas excéder 1/10mm !
Petite astuce de mon frangin pour obtenir de belles feuille rondes : étaler puis tourner la feuille d'un quart de tour. Recommencer l'opération (étaler et tourner d'un quart de tour) autant de fois que nécessaire jusqu'à obtenir une belle feuille ronde de la taille désirée (25-27 cm). Ne pas hésiter à fariner la planche, la feuille et le rouleau pour éviter que cela ne colle.
Vous devez maintenant disposer de deux grands récipients, l'un contenant de l'eau bouillante salée et l'autre de l'eau froide. Trempez une à une chacune des feuilles de pâte dans l'eau bouillante pendant 2 minutes puis plongez-la dans l'eau froide. Retirez-la et épongez l'eau à l'aide d'un papier absorbant.
Préparation de la farce
Ecrasez la feta avec une fourchette, ajoutez le gruyère, le persil (n'hésitez pas à en mettre beaucoup), le sel et le poivre. Mélangez bien.
Montage du sou beurek
Divisez le beurre en 6 parts. Posez 1 feuille sur le moule en fer (préalablement beurré) et éparpillez de tout petits morceaux de beurre(1/6), redisposez 1 autre feuille, éparpillez de nouveau du beurre (1/6) puis redisposez 1 feuille et éparpillez du beurre (1/6). Enfin disposer la 4ème feuille et sur celle-ci, répartissez la farce.
Puis disposer les quatre feuilles restante et le beurre en alternant à nouveau (une feuille, du beurre, une seconde, du beurre, une troisième, du beurre et la dernière). Sur la dernière feuille sur étaler du beurre fondu à l'aide d'un pinceau. Découpez en losanges sur toute la profondeur.
Ce plat se cuit en 2 temps : après 15 minutes dans un four à 190°, sortez le plat et laissez- le refroidir ; remettez-le au four 15 minutes avant de servir.
A noter qu'il est possible de cuire le sou beurek à la poële (penser à le retourner à mi-cuisson)
Même si une personne arrive à accumuler une montagne d'or et d'argent, cela ne signifie rien pour elle car son désir est infini comme le ciel
Quelque fois, au moment de la fructification, les êtres vivants sont contrôlés par les karmas, alors que d’autres fois, au moment de l’action, les karmas sont contrôlés par eux, exactement comme au moment de prêter de l’argent le créancier est dans une position plus forte, alors qu’au moment de le rendre c’est le débiteur qui a la position plus forte.
L’âme est l’auteur et le bénéficiaire, à la fois, du bonheur et du malheur ; l’âme est son propre ami, quand elle agit bien, et son propre ennemi, quand elle agit mal.
Il y a toujours une arme plus puissante qu’une autre, alors qu’il n’y a pas de non-arme (ahimsa) plus puissante qu’une autre, c’est la seule.